Dans la ville , le pouvoir , la survie [Rp Privée Aden/Adm]

Aden accompagné de certains des sangs noirs était pensif, malgré le fait qu'il était protégé par les prêtes de la secte, il restait maintenant à trouver un but à toute l'opération sangs noirs, Aden resta de marbre fixant à bonne distance la forêt, que dire sauf le fait qu'il rêver désormais de la faire brûler pour reconstruire l'empire de la bangana, quand il pensait que certaines des lointaines factions prônaient le respect de la verdure qui les tue sans pitié à la moindre intrusion dans la forêt,

D'un air glacial Aden tourna le dos avant de montrer la ville de Setissi avec sa main revêtue d'un Gants noirs; Un symbole très puissant ne vous détromper pas la main noire symbolise les sangs noirs , les gants noirs sont d'ailleurs les seuls moyens de reconnaître un sang noir au premier regard, Aden fixa la presque armée des sangs noirs, puis pris la parole

- "Setissi représente le pouvoir des Ongwe, celui qui détient la ville gagne la clé de voûte de notre unification, je ne vous demande pas aujourd'hui de prendre les armes et de massacrer les dirigeants pour la grandeur des sangs noirs, non, nous allons faire, vite, rapide, ainsi que précis, la ville reste désorganiser et sans réelle défense nulle doute que la ville tomberait rapidement dans le sang, mais non nous allons demander une entrevue avec la pseudo-organisation de la ville, envoyer des émissaires"

Aden resta pensif, puis regarda les émissaires partir vers la ville, qui ne devait à l'heure actuelle rien faire comme d'habitude ...

Dans la ville de Setissi, les émissaires purent voir un spectacle aussi spectaculaire que déprimant. Des centaines d'âmes, sans but errait sans savoir où aller dans la ville. D'autres pauvres âmes s'allongeaient, attendant une mort qui semblait pour une fois attendre pour les faire souffrir. En fin de compte, les seuls qui restait énergique étaient les soldats et les fous. Les soldats car trop occupés à calmer les fous qui avait sombré depuis longtemps dans la folie suite aux différents traumatisme que ces derniers avaient vécu.

Les émissaires paraissaient dans ce spectacle, un peu étrange de plus, certains étaient blanc !

Alors qu'il venait à peine de traverser les hautes murailles de pierres, trois soldats les interpellèrent.

Soldat : ET vous ! Z'êtes qui ? je vous connais pas !

Les émissaires furent plus qu'attrister par la situation de la ville, effectivement en cas d'attaque elle finirait rapidement par devenir la ville du chef enfin bon monsieur Aden avait décider de négocier pensa l'émissaire, il répondit aux soldats


-"Nous sommes les renforts que vous attendiez, nous sommes vos amis, nous sommes là pour redonner de l'espoir, notre chef désire savoir qui dirige ici ?

L'émissaire fixa le soldats , pendants que les deux autres hommes qui l'accompagner réfléchissez sur le moral de la population

Les soldats furent surpris de la réponse. Le groupe avait l'air d'être très confiant en l'avenir, ce qui était plutôt étonnant. Devant un discours aussi salvateur le soldat ne pouvait que bafouiller.



Soldat : Heu... Et bien c'est le conseil des Sages, les premiers arrivés sur cette terre mais on les voit rarement.

L'émissaire fut plus que réjouit de la nouvelle un conseil distant que voilà une aubaine pour prendre le pouvoir en les évinçant du pouvoir enfin pouvoir ce qu'il reste de pouvoir dirons certains.

-" Soldats vous connaissez sans aucun doute la légende des sangs noirs, les enfants de la technologie destiner a tous nous sauver ? , en tout cas nous demandons l'autorisation soit de rencontrer votre conseil soit de pouvoir parler après la réunion de tous les citoyens sur la place de la ville sans trop vous désorganiser nous ne sommes pas là pour vous déstabiliser cher frère "

Le soldat regardait désormais d'un oeil suspicieux le nouveau venu. Il semblait convoiter le pouvoir avec des phrases tournées à la négative.

Lorsque l'étrange groupe lui parla de sang noir, le soldat se tourna vers ses collègues puis regarda à nouveau le groupe.



Soldat : Heu non. Connais pas. Mais des personnes de votre rang ne peuvent pas demandez audience au conseil. Enfin vous pouvez faire ce que vous voulez... Mais on vous a à l'oeil. À la moindre connerie...

L'émissaire fixa le soldat avant de répondre naturellement

-' Nous vous remercions soldats, bonne continuation a vous "

Les différentes informations furent données à Aden qui décida d'envoyer quelques personnes qui avaient pour étrange mission de parler a chaque citoyen qu'il croiser soit sur le sol, soit dans la rue a chaque fois les émissaires disais a peut prêt la même phrase après avoir réconforté le gens

-"Ne désespère pas mon frère, la mort ne ramènera pas nos proches disparus, bien que cela fasse très mal, il ne faut pas perdre notre espoir, car les sangs noirs son désormais là pour venger nos familles tuées par la nature, pour que leurs morts ne restent pas comme un point dans histoire "

Les paroles du groupe étaient bien énigmatiques. Certain les prenaient désormais pour des fous d'autre pour des personnes qui avaient peut être une idée de quoi faire...

Finalement l'émissaire quelques jours après leur arriver avait laissé stagner les idées dans les esprits de la population, il fit une dernière tourné devant des groupes en répétant à peu près la même chose

-Cher Amis, nous avons réussi à trouver la source de vie de cette saleté de nature, nous pouvons en finir une bonne fois pour toute avec cette merde, il nous faut seulement relancer la ville pour ensuite produire des armes, d'après des rumeurs le conseil compte nous soumettre à la nature, il ne faut pas nous laisser faire ...

Les habitants eurent partout les mêmes réponses.

- Et vous proposez quoi ? Les belles paroles sont jolies mais les derniers qui ont dit cela sont mort !

Soudain, des bruits éclatèrent en ville, il semblait que la population en avait marre de l'immobilisme...

Pendant les troubles naissant les émissaires répandirent de bonne paroles en faveur des sangs noirs comme par exemple "Le conseil prévoit d'exterminer une partie de la ville" "Les sangs noirs peuvent nous sauver" ou bien même "La Nature arrive faut nous secouer pas comme le conseil " .

Les paroles des sang noirs étaient parfois écoutées parfois oubliées. Soudain, alors que l'agitation était maitre de la ville, une dizaine de soldat vinrent dans la rue pour calmer les manifestants, leurs intentions étaient clair et la peur montait chez les insurgés...

Les combats éclataient parmi les habitants, une guerre civile née du désespoir commençait à transformer ce havre de paix en chaos.

Pour les "fanatiques" des sangs noirs ce fut le point de ralliement, les diplomates rapidement rejoints par quelques guerriers tentèrent un ralliement populaire en leurs faveurs .

Le peuple suivait les leaders.

-Chez les vieux riches ! Hurlaient certains.